Traiter les douleurs psychiques et les burnout(s)

Traiter les douleurs psychiques, les burnout(s), le stress, la dépression, l'angoisse, etc.

Une pratique efficace.

Les douleurs psychiques sont multiples et induisent un mal-être qu'il faut prendre très au sérieux.


Un écho dans le corps entraînent des douleurs physiques qui peuvent persister au long cours. Certains parlent de "mémoire traumatique", à condition de ne pas en constituer un concept mystérieux et fourre-tout ; ainsi, quand un fascia est spasmé : il ne se détend pas de lui-même, ce qui explique cette étonnante "mémoire du corps" et le réveil de "vieilles douleurs" que l'on croyait disparues parce mentalement oubliées.


Les symptômes constituent ces douleurs psychiques, cette souffrance à laquelle il convient de préter une une attention partiulière, une écoute et un accueil attentif.


De nombreuses dénominations et entités nosographiques viennent les désigner : stress, anxiété persistante ou chronique, angoisse, crises de panique, perte de sommeil, boulimie, anoréxie, perte de poids, addictions, détresse, tristesse profonde, crise familiale, violences envers soi-même ou autrui, irritabilité, difficultés sexuelles et rélationnelles, dépression, traumatismes et stress-post traumatique, etc.


J'ajoutte à cette énumération trois considérations auxquelles j'ai décidé d'apporter une attention particulière mettant à jour d'une manière crue la solitude de l'être humain et le difficile rapport au temps : le harcèlement moral et l'emprise perverse, le stress pré-opératoire et la période de convalescence des patients hospitaliers, les affections longue durée qui nécessitent un accompagnement spécifique.


Au delà de ces aperçus, la personne qui souffre dans son mental et son corps est souvent aux prises avec un combat ou une fuite inaboutie contre des pensées, des émotions, des sentiments, des souhaits, des impulsions, des souvenirs, des images, des désirs, des fantasmes, des petites ou grandes voix. La honte, la colère, la tristesse et le dégout encadrent alors l'angoisse et l'insupportable qu'elle condense.


La société parle de burnout(s), personnel, professionnel, parental ou du proche aidant, mais aussi de risques psychosicaux (RPS), de traumatismes, de crises,d'urgences et de détresses pour décrire l'état d'un champ appelé si maladroitement de la "santé mentale". Le contexte entourant les hospitalisation est souvent délaissé au profit d'une logique dite ambulatoire laissant bien trop souvent les patients dans leur solitude. Les effets du harcèlement et de l'emprise perverse sont souvent mal-appréciés, entre déni et enfermement dans une posture psychique préjudiciable au long court.


Ce qui importe c'est la capacité de chacun à agir en conformité avec l'orientation qu'il souhaite donner à sa vie, sans être entravé par des souffrances et douleurs qui l'immobilisent et qui travaillent à la solde de la pulsion de mort, si bien décrite par Freud.


Pour répondre à ces situations où le temps se fait pressant, il m'est apparu nécessaire de dédier un espace d'accueil spécifique pour permettre aux personnes affectées de renouer avec la vie.


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